Parmi les petits bonheurs hasardeux qui accompagnent la vie d’autrice, il y a les traductions. Quelle joie de découvrir son livre dans un nouveau écrin, traduit le plus souvent dans une langue que l’on ne parle pas. C’est tout de même assez magique de penser que les livres continuent leur vie loin de nos yeux, qu’ils voyagent et partent à la rencontre de lecteurs et lectrices d’autres pays, d’autres cultures.
Les trois dernières traductions : La folle rencontre de Flora et Max en Espagnol (pour l’Amérique du Sud), Le jour où les ogres ont cessé de manger des enfants en Coréen, et Ma fugue chez moi en Italien.